Foofwa d’Imobilité. Une vie en danses
Musings
«Présence quasi génétique de cet enchanteur félin aux incroyables bonds et rebonds, Cunningham, qui marqua si fort l’histoire de la danse.»
Presse
Foofwa d’Imobilité. Une vie en danses
La Danse selon Merce Cunningham – Leçon de danse
Le Temps – Samedi Culturel
«Il a dansé sept ans pour le maître américain. Danseur époustouflant, le Genevois Foofwa d’Imobilité explique, figures à l’appui, la technique de l’artiste. (…) Dans la dureté des entraînements cunninghamiens, Foofwa d’Imobilité a trouvé sa liberté – son nom d’artiste en est comme le symbole, lui qui est né Frédéric Gafner, fils d’une danseuse étoile au Grand Théâtre et d’un danseur passé photographe.»
Step-by-step guide to dance: Merce Cunningham
Guardian.co.uk by Sanjoy Roy
«Cunningham has collaborated with many visual artists, including Robert Rauschenberg, Jasper Johns, Andy Warhol, Frank Stella and Bruce Nauman. His composers have ranged from John Cage and Gavin Bryars to Radiohead and Sigur Ros. His pieces aren’t designed to highlight star dancers, but some dancers certainly shine in his works, including Carolyn Brown in the early years, and more recently Frédéric Gafner (who’s now, improbably, called « Foofwa d’Immobilité »).»
Swiss Contemporary Dance Days – Focus on Tiziana Arnaboldi and Foofwa d’Imobilité
The Making of Spectacles
Explore Dance
«Foofwa d’Imobilité uses tradition while both mocking and somehow extending it. I’m not sure how he accomplishes this feat, but it must be in part because he and his dancers are exquisitely trained—how else can you poke fun at dance? d’Imobilité’s years performing with the Cunningham troupe surely gave him experience and confidence. But there is something more here. Call it play in the fields of the masters. Call it illusion in the Land of Oz. Call it whatever you want, but go see his choreography.»
SOCIÉTÉ : L’original
Le Temps By Marie-Pierre Genecand
«Merce Cunningham, 92 ans, est aujourd’hui dans un fauteuil roulant. Mais, en juin dernier, lorsque Foofwa d’Imobilité a présenté Benjamin de Bouillis au Baryshnikov Arts Center de New York, le vieil homme n’a pas manqué une miette de ce solo qui explore le principe de décorporation. «Et qui analyse le rapport du danseur avec son double, ce reflet constant du miroir.» Cunningham, assis à côté de Mikhaïl Baryshnikov, n’a pas manqué non plus l’ovation qui a ponctué la représentation. Alastair Macaulay, intraitable critique du New York Times, emballé lui aussi, a donné comme titre à son article: «Un maître de la nonchalance dans le contrôle de ses illusions». Un chorégraphe a soufflé à Foofwa: « New York needs you! »»