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Carnet de notes  : UN, PERSONNE et cent mille :

p. 123 « Il N’EST PLUS d’univers pour moi : je ne puis RIEN savoir du leur, celui dans lequel ils font semblant d’exister. »

p. 229 « Que ce ne soit pas la vérité pour nous, les autres n’en ont cure, du moment que c’est vrai pour eux. »

p. ??? « Pourquoi, lorsqu’on songe à SE TUER, s’imagine-t-on MORT, non plus pour soi, mais pour les autres ? À cette question, mon tourment affleura de nouveau à la surface de mes pensées, comme un CADAVRE DE NOYÉ, gonflé et LIVIDE. »