Presse

5 Nov 2004

DJ Gigo met le feu au Show
Media Vice Versa

Le Courrier
« la pièce déborde d’énergie et d’ironie légère sans jamais verser dans l’égotisme trop bienveillant. »

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6 Oct 2004

Thomas Lebrun et Foofwa d’Imobilité signent une pièce formidablement joyeuse
Le Show

Le Temps
« Deux danseurs carnivores offrent un morceau inoubliable à Genève.
Poésie crue. Poésie libertaire. Tout ce qu’on aime. »

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28 Sep 2004

In Lyon, Olive Oil, Ataxia and a Jester on the Run
Kilometrix.dancerun.4

The New York Times
«Very different was the performance by Foofwa. The video of  »Dancerun » was filmed by cameramen on scooters and roller skates who accompanied him for 47 minutes. The performance was not all entertainment, but rather, as the choreographer explained, an effort to extend ideas of time and space through the use of distance. The aim was a hybrid, to put a  »qualitative » aspect into running that athletes do not have.»

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9 Sep 2004

Ein Weltstar aus der Romandie
Le Show

Tages-Anzeiger
« Variété und didaktisch aufbereiteter Fleischbeschauung. Lockere Bewegungsmuster verbinden sich in einem raffinierten Licht- und Schattentheater… »

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23 Fév 2004

Quelle différence entre un gigot bien tendre et une cuisse de danseur bien musclée ? Foofwa press
Le Show

Télérama
de Rosita Boisseau

« Quelle différence entre un gigot bien tendre et une cuisse de danseur bien musclée ? Aucune figurez-vous, surtout quand on fait du tam-tam dessus ! C’est ce que nous démontrent, avec la frappe ad hoc, les chorégraphes Foofwa d’Imobilité et Thomas Lebrun dans leur duo ravageur baptisé Le Show. Le premier fut interprète chez Merce Cunningham, le second chez Daniel Larrieu. Rien que de très sérieux apparemment. Sauf que lorsque nos deux lascars se pointent ensemble sur un plateau, ils font l’effet d’une bombe lachée sans prévenir sur la danse contemporaine. En robe et talons hauts ou harnachés d’une serpillière et d’un micro, ils se moquent absolument de

tout : de la consommation passive du spectateur amateur de chair bon marché, de la danse qui se contente de lever le sourcil, d el’art qui se vend au mécène le plus offrant, et d’eux-même aussi ! Plus qu’à poil même lorsqu’ils sont en string, ils s’amusent beaucoup, se dévoilent énormément et emballent le public autant qu’ils l’émeuvent. Ces provocateurs hors normes n’ont qu’un mot d’ordre : la tolérance. Reçu cinq sur cinq. »