FAIRE DIALOGUER

 

le Minstrel Show

 

et le ballet romantique

/Utile : La lutte des cultures


2016

/Utile : La lutte des cultures se présente comme une performance montrant comment la danse moderne a été influencée par deux danses antagonistes, le ballet romantique d’un côté, et le premier spectacle purement américain, le Minstrel show. D’un côté une danse européenne à l’histoire séculaire, et de l’autre une danse issue des danses africaines transformées par les esclaves, imitée par les Blancs et réappropriée par les Noirs.

/Utile : La lutte des cultures prend donc la forme d’une dialectique, multiple, à plusieurs degrés. Un combat entre deux groupes de danseurs, à l’image d’une “battle”, une joute aussi entre la danse et la parole, un dialogue enfin entre le ballet occidental et la danse des esclaves africains-américains.

Avec cette performance, cette étape de travail dévoilée, Neopost Foofwa poursuit, au fil de son projet /Utile, sa recherche sur l’histoire de la danse, et explore, par les antagonismes, les oppositions, les contraires « de prime abord », le chemin du mouvement, les origines de la danse contemporaine.

Credits

Concept : Foofwa d’Imobilité et Jonathan O’Hear

Chorégraphie : Foofwa d’Imobilité

Danseuses et danseurs interprètes : Eléonore Cabrera, Judith Desse, Luca Häseli, Johanna Heusser, Ivan Larson, Emeline Quinet, Dina Sennhauser, Alizée Sourbé

Lumière et scénographie : Jonathan O’Hear

Son : Clive Jenkins

Costumes : Aline Courvoisier

Assistante jeu et voix : Nathalie Ponlot

Intervenants : Nunzia Tirelli, Filibert Tologo, Franck Waille

Coordination : Sylvia Amey, Patricia Buchet

Production : Neopost Foofwa

Partenaires : L’Abri – Espace culturel pour jeunes talents, L’Association pour la Danse Contemporaine de Genève, le Centre national de la danse – Pantin, Tanzhaus Zürich

Soutiens : La Fondation Ernst Göhner, La Fondation Fernando et Rose Inverni-Desarzens, Le Pour-cent culturel Migros, La Loterie Romande, La Fondation Prof. Otto Beisheim, en cours

Neopost Foofwa (2015-2017) bénéficie d’un soutien conjoint de la Ville Genève, de la République et du Canton de Genève et de Pro Helvetia – Fondation suisse pour la culture