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OLGO a dansé pour la première fois de l’année!!!!
TEMPS 02:30:48
OLGO a souhaité 2500 fois la Bonne année aux passant*es 🙂 !!!!
aussi aux chiens!!!!
VIT. MOYENNE 4,64 KM/H en dancewalk
salutation particulière pour les enfants¡¡¡¡
dans les lieux plus touristiques c’était plutôt ‘happy new year¡¡¡¡’
DISTANCE 11.65 KILOMETRES
après indifférences, perplexités ou sourires
la majorité faisant écho à ces vœux
plus de bonne humeur que de morosité (même si…)
Geneva 4G
parfois OLGO rajoutait un ‘malgré tout’ (mais c’est pas ((encore)) le moment de parler des crises écologiques ni des guerres)
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Au moment où jdoute où jme pose à nouveau la question de l’utilité dce projet
Jréalise de manière renouvelée l’impact public d’OLGO
OLGO suscite plus de vie réactions communication liens questionnements curiosité
Aujourd’hui, jeudi 4 janvier, la rue a été un lieu où plus de trois mille inconnu*es se sont souhaitées la Bonne année à cause d’OLGO
Des centaines de visages parfois fermés se sont illuminés ont souri
Quelqu’un me dit pourquoi cet accoutrement <bonne année> si je suis pas trop indiscret ?
Je répondra désormais qu’OLGO est une œuvre artistique publique avec un message
MasquerMontrer MarcheDancewalk
DISTANCE 22.19KM de danse-marche presqu2x + que le 1erJanv
TEMPS 05H40M37S VITESSE MOYENNE 3,91KM/H = 3h de + que le 1er janv mais plus lent 0,73 km/h de moins
Foule moins dense
Danse moins full
GenevaGenèveGeneva ARRÊTÉ: (((0))) REPRENDRETERMINER
Cetfois porté banderole sur devantorse customisé en « BONNE ANNÉE CLIMATIQUE ? » tout en adressant un simple Bonne année!
<Merci pour ce que vous faites> <bravo, tout le monde devrait faire quelque chose dans le genre…>
Combien de « Bonne année » cetfois?
Environ 3320 fois mais en 340 minutes
La moitié sourit les 4 cinquièmes répondent Quelques pouces levés
Ceertain*es ayant lu ma banderole me souhaitent Bonne Année avant que je le leur dise
<En fait tu es un homme-sandwich> dit Jean-François <oui j’assume> mais on peut aussi considérer que je porte sur moi le titre de l’œuvre artistique et que les autres inscriptions sur le costume (dont le QR code) sont l’équivalent du programme de salle d’une pièce au théâtre
Rencontré et discuté avec Jean-François pianiste compositeur, Boris Engelson journaliste indépendant, une dame qui a toujours eu des chiens et qui essaie désormais de comprendre la psychologie de son premier chat de compagnie, un jogger super sympa qui me filme pour les réseaux sociaux en me posant plein de questions, etc. dont un échange rapide rigolo avec 2 mecs de la voirie de la Ville de Carouge!
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OLGO SAPIENS 03 chante FELICITÀ pour le CLIMAT
Aux rythmes de la chanson de 1982 d’Al Bano et Romina Power, dansant sa mélodie et ses paroles reproduites a cappella tant bien que mal, OLGO nous souhaite le meilleur pour le Climat, ce malgré la situation climacacatastrophique…
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Le CIEN de Fribourg * reprend ses rencontres par zoom. Foofwa, invité à parler du Projet OLGO, parle de son expérience vécue lors des sorties dans l’espace public, s’exprimant dehors de nuit en avatar d’OLGO…
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Laboratoire du CIEN de Fribourg
Ce qui de l’inconscient s’écrit : Le corps et le numérique
Responsables : Violaine Clément (violaine.clement56@gmail.com) et Nicole Prin
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OLGO SAPIENS 05: La Tête Ailleurs
34km en deux temps matin après-midi OLGO SAPIENS chante une ‘in-cituation’ * de Felicità, la chanson de 1982 d’Al Bano et Romina Power, mettant en dialectique les paroles originales d’amour et de joie en italien et la création d’un texte sur la situation catastrophique.
Très pris par un problème personnel, j’alterne je tri-alterne entre moments de bonheur dans ma bulle de liberté, d’autres où je me concentre sur la mémorisation de ka chanson la chanson et la création de nouvelles paraphrases sur le climat, dautres enfin d’autres où j’ai, mais et beaucoup où j’ai la tête complètement ailleurs dans mes problèmes personnels. Avec toutes ces différences différents états d’esprit j’avance en dansant en marchant…
Rencontres rencontré Dominique, retrzite retraitée française qui vit, sans virgule, dans un van avec son chien qui passe d’un endroit à l’autre. Sans pount pount point, qui resteReste quelques temps là en ce moment à Genève. Au bord de la rive gauche de l’Arve une nomade sensible et lucide qui aime sa vie simple et riche besoin de rien même pas d’une douche elle a tout ce qu’il faut dans son van
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Une ‘in-cituation’ est une situation artistique où une citation d’une oeuvre artistique est adaptée in-situ au contexte en direct
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OLGO SAPIENS 06: 45 kilomètres de Félicité Climatique
Echanger du sourire, offrire de la folie (son grain), offrir de l’esprit, partager de l’énergénie de liberté, faire don de poésie, faire preuve d’authenticité…
Une femme, la trentaine, qui fait du jogging, voit OLGO, lève le pouce et dit: « J’adore! »
Un homme, la cinquantaine, qui attend le feu vert, lève le pouce et dit: « Parfait! »
Un homme, la vingtaine, aux côtés d’une jeune femme dit simplement: « waouh, magnifique! »
Le long des routes du Canton de Genève, plein de particules fines ont pollué !dans la Felicità! les poumons d’OLGO….
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Deux pratiques de dancewalk simultanées, performées par Mathilde Beauducel et Foofwa dans leurs villes respectives de résidence, Angoulême et Genève. Au téléphone, les deux conversent sur le passage de la marche à la danse, en l’analysant à chaud pendant que ce passage est pratiqué. Chacun chacune enregistre avec leur appareil les sons de leur pratique analysée.
Ce premier temps a permis de se concentrer sur l’analyse théorique et pratique avec une attention particulière sur les détails, dans une atmosphère d’atelier pédagogique et sans la pression de la performance.
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Lors de la Marche de nuit entre Paris-Versailles et Mantes-la-Jolie, Foofwa analyse le passage de la marche à la danse tout en dancewalkant l’ensemble des 54 kilomètres. Les impressions en direct de Foofwa sont recueillies et enregistrées en direct par Mathilde Beauducel.
Ce deuxième temps se concentrera plus sur l’aspect performatif, spectaculaire de la marche-danse mais aussi les ressentis intérieurs du marche-danseur.
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OLGO SAPIENS 07: « C’est le dernier jour pour se souhaiter une Bonne Année Climatique! »
En initiant les thématiques pour février – prendre les poses aux côtés des statues et des monuments genevois – OLGO SAPIENS a joué sur les mots « BONNE ANNEE CLIMATIQUE » immobile aux côtés des quatre statues en bronze du Rond-point de Plainpalais (du sculpteur Gérald Ducimetière) puis de la statue du Général Dufour à la Place de Neuve et enfin de celle de Philibert Berthelier sur la Place Bel-Air, exposé aux regards et à l’oreille interrogatifs des passant*es.
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Plaisir d’une danse avançante traversante le traffic piétons vélos gens qui rentrent du boulot coureur*euses armé*s de leur lampe frontale
Pleine coordination des mouvements magique transcendance
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Rentrer dans Rentrer danse Rentrer danse la ville Comment rentrer danse une nouvelle ville Une nouville Comment rentrer danse une nouville
Zurich inscription Zurich inscript Zurichscript
13 kilomètres d’inscription inspirée soigneuse joyeuse
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OLGOes to Zürich 1!
OLGO SAPIENS is meeting the streets of Zürich these days!
Nice to OLGO around and meet the Zurich people! Yes yes yes so nice!
OLGO, OLGOing, OLGOne!
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OLGOes to Zürich 1!
Première présence d’OLGO à Zürich
Zurichoises Zurichoises & touristes se prélassent en cette fin de dimanche douce et ensoleillée
Le long des rues de la Vieille Ville et de rencontrent OLGO avec des yeux surpris des sourires sympathiques des
Pas aussi froid que je pensais cette première rencontre…
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OLGOes to Zürich 2!
OLGO SAPIENS is meeting the streets of Zürich these days!
Nice to OLGO around and meet the Zurich people! Yes yes yes so nice!
OLGO, OLGOing, OLGOne!
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OLGOing to Recycle Himself!
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OLGOes to Zürich 3!
OLGO SAPIENS is meeting the streets of Zürich these days!
Nice to OLGO around and meet the Zurich people! Yes yes yes so nice!
OLGO, OLGOing, OLGOne!
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OLGOne from Zürich
Finalement OLGO n’avait pas trop envie de sortir, alors il n’est pas sorti, il est resté à l’intérieur, il ne s’est même pas paré de ces déchets haute-couture, il a fait l’impasse, il a dit Ciao zamme et à la prochaine Zürich!
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Au Salon du Livre de Genève, OLGO SAPIENS – déguisé en Frédéric Gafner – remarque ce qui l’intéresse derrière dessous par terre…
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Arve Evasion Dancewalk Trailning
5km de Arve Evasion Dancewalk Trai(l)ning pour préparer mon Solo Rhône Evasion Dancewalk du lendemain…
La vidéo CINÉMATIQUE DE LA DANCEWALK résultant de ce trailning comporte un nouvel intérêt dans la perception du mouvement avançant de la Dancewalk:
Le montage alterne entre deux points de vue sur et autour du corps dancewalkant. A: La caméra portée sur moi devient une caméra-corps-dancewalkant subjective comme si le corps avancévoluant avait un oeil; cet oeilrganisme danse dans des séquences particulières, souvent répétées une demi-douzaine de fois avant de passer à une nouvelle organiséquence dancewalkante. Le monde capté par l’oeilrganisme bouge selon les spécificités de chaque organiséquence; un lien entre subjectivité, mouvement et image du monde se fait et en résulte que le moi avancévolue dans le monde en dansant avec lui et simultanément le monde danse avec le moi avancévoluant. B: La caméra est prise dans la main et je tente de donner plusieurs points de vue extérieurs du corps dancewalkant. Ces prises de vue complètent ce que l’oeilrganisme a capté en montrant ce lien du corps-dancewalkant au monde avec plus d’objectivité mais d’une objectivité toujours empreinte de subjectif. Pour pouvoir intégrer ces images comme dignes d’intérêt, je propose deux repères: « La Région Centrale » et « <—> (Back and Forth) » de Michael Snow ainsi que les mouvements de caméra subjective de certains jeux vidéo. Note: la cinématique selon Ampère est « cette science où les mouvements sont à considérer en eux-mêmes, tels que nous les observons dans les corps qui nous environnent, et plus spécialement dans les appareils appelés machines. » Je remplacerais « dans » par « avec les machines » mais j’utilise ce terme de cinématique plutôt en pensant au lien entre kinesthésie et cinéma; kinesthésie en tant que « sens du mouvement; forme de sensibilité qui, indépendamment de la vue et du toucher, renseigne d’une manière spécifique sur la position et les déplacements des différentes parties du corps » et cinéma dont l’étymologie vient du grec ancien κίνημα, kinēma, « mouvement ». (voir la pièce AU CONTRAIRE).
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Rhone Evasion Solo Dancewalk
Ffaute d’un problème d’inscription à la Marche 15km du Rhône Evasion Run Marche du 9 mars, je décide de dancewalker en solo le parcours de cette course le lendemain; et comme je me trompe par moments d’itinéraire, cela donne une Dancewalk de 19 kilomètres.
Filmée en entier, il en résulte avec JEU DANSE MONDE DANSE, une sorte de documentaire cinématique * de cette Dancewalk solo, une séquence brute de 225 minutes, sans montage, avec deux brefs arrêts pour les changements de batteries de la GoPro. Celle-ci est placée pour la majeure partie du temps dans une pochette de mon gilet au niveau du coeur, parfois toutefois je la prends et les différents parties de mon corps dancewalkant. En temps réel, le monde danse devant autour avec mes mains parfois mes pieds parfois ma tête et tout le reste du corps et le monde jouent ensemble à cette danse de l’avancée du corps sur les chemins (que je perds parfois) de la Marche de 15 kilomètres du Rhône Evasion Run de la veille. ( * Voir l’analyse et le montage autour de la CINÉMATIQUE DE LA DANCEWALK visible sur la Date du 9 mars 2024).
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Aujourd’hui
OLGO SAPIENS
est sorti
SANS LAISSER
de
TRACES
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Lancement de ‘STROF CATA CLIMA’, le recyclage en direct de chansons et poèmes pour le climat par OLGO dans des lieux publics.
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OLGOSAPIENSSortieDuSamedi
Nouveaux poèmes créés pendant la sortie de deux heures quinze en les créant peu à peu, en marchant, dansant en même temps :
1.
Réchauffement
Joyeusement
Dérèglement
Irrémédiablement
2.
des rivières, POLLUTION
des politiques, PAS D’ACTION
des paysages, DEGRADATION
des économiques, PAS D’SOLUTIONS
des poissons, RARÉFACTION
3.
Le désastre
Le désastre en cours
Le désastre en cours d’eau
Le désastre en cours d’eau pollué
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Vidéo CORPSCAMÉRASCOPIE pendant l’entraînement de Dancewalk sur piste de 10km au Stade du Bout-du-Monde
Troisième vidéo qui développe ces notions de OEILGARNISME, de CINÉMATIQUE DE LA DANCEWALK, de JEU DANSE MONDE DANSE, de caméra-corps-dancewalkant qui devient ici CORPSCAMÉRA dans une viidéo CORPSCAMÉRASCOPIQUE.
C’est long (1h45) mais c’est vraiment unique!
Stats: 10,01 km 1h47’44 » 5,58 km/h
https://www.geneve.ch/centre-sportif-bout-monde
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Vidéo CINÉMATIQUE ET MÉMOIRE
en cours de développemontage – partagée brute pour l’instant
pendant le trailning de 15km en Dancewalk en Gruyère
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Chaque semaine, OLGO SAPIENS fait des sorties spontanées soit en lisant à haute voix des articles sur l’écologie, soit en listant une suite de bonnes actions climatiques que tout un chacune peut faire, soit en retravaillant et continuant à développer son répertoire de danses, poèmes et chansons écoptimistes!
Revenir sur la page d’OLGO SAPIENS régulièrement pour vérifier si une sortie est prévue pour la journée ou pour être informé*es des détails d’une sortie annoncée à confirmer.
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Répèt pour Occupassion sous la pluie
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OLGO a créé des petits remous théâtrorégraphiques au marché de Plainpalais pendant que les Grands-Parents pour le Climat – Genève alertaient les passant*es sur la question de l’épuisement de la planète face à nos consommations infinies de ses ressources.
photos JJKissling
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En collaboration avec le Collectif Breakfree, OLGO fera du ski de fonte des glaciers.
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En collaboration avec le Collectif Breakfree, OLGO fera du ski de fonte des glaciers.
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Vernissage de l’exposition des archives de Beatriz Consuelo (voir page CONSTALLATION)
Discours officiels et lecture d’un extrait de la biographie de Beatriz Consuelo par Ava Isadora, sa petite-fille sur la scène du Pavillon ADC
Performances du Ballet Junior de Genève et de Foofwa d’Imobilité ANNULÉES *
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Foofwa allait danser Ellégance, un extrait de PAS DE CÔTÉ, en femmage à Beatriz Consuelo
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Ava Isadora au Vernissage
Avec sa grand-mère maternelle aux côtés de sa grand-mère paternelle célébrée
Ava filmée par Violaine, sa grand-mère
Cette biographie de la grand-mère absente, Beatriz, lue par la petite-fille qu’elle n’a jamais rencontrée
Absence jusqu’à
Une rencontre de présences aujourd’hui
Note: Deux dernières photos de Marthe Krummenacher, merci !
Voir aussi
https://www.congresamp2014.com/it/Trozos-de-real_Textos.php?file=Uterus-piece-dinterieur_Violaine-Clement.html
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“Douce heures de femmage à Mamandame Consuelo dédiées à la danse »
ANNULÉES
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CONSTALLATION
Une constellation de réminiscences de ce vrai lieu immatériel, la danse
« RIEN / N’AURA EU LIEU / QUE LE LIEU /
EXCEPTÉ / PEUT-ÊTRE / UNE CONSTELLATION » (Stéphane Mallarmé)
et une installation pour que ce qui est encore muet parle, sourd réponde, aveugle
guide, mort revive…
« O livro é um mudo que fala, um surdo que responde, um cego que guia, um morto que
vive. » (Padre Antônio Vieira)
…
“A chaque heure, une nouvelle section de danse commence: à 7 heures, à 8 heures, à 9 heures et ainsi de suite 12 fois jusqu’à la dernière débutant à 18h… »
ANNULÉ
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Regards
Le projet Place Beatriz-CONSUELO a permis à ce qu’un aspect de la vie de Beatriz Consuelo, apparaisse. Né d’une conversation avec mon père, Claude Gafner, danseur et photographe, au sujet du fonds Consuelo des Archives suisses des arts de la scène, ce narratif n’avait pas encore été raconté.
A la fin des années 60, alors que Beatriz Consuelo était au sommet de sa carrière d’étoile et que Claude Gafner transitionnait de la danse à la photographie de théâtre, mes parents, ce couple né sur scène, récemment marié et encore sans enfant, est devenu co-créateurice d’une série de photographies d’une rare qualité.
Ma mère avait pressenti le talent de son mari pour la photographie et dés lors l’encourageait à suivre sa nouvelle vocation. Elle-même savait l’importance d’une image, de sa trace dans l’histoire, ayant acheté une décennie auparavant sa caméra 8mm et filmé des coulisses certains moments historiques du Ballet du Marquis de Cuevas. Elle avait vu juste puisque la Bibliothèque Nationale de France a désormais fait l’acquisition près de 900 photographies de théâtre et de danse de Claude Gafner.
Lors de séances photo en studio improvisé dans leurs divers logements ou studios de danse, ma mère a joué le jeu du modèle mais un modèle que mon père décrit comme plus que muse, plus que compagne, plus que co-créatrice, ou tout cela à la fois.
…
“Chaque danse dure de 15 à 30 minutes et est suivie d’un entr’acte où Foofwa peut échanger quelques minutes avec les passant*es ou les spectateur*ices sur la place pour parler mémoire, ville, danse, histoire, héritage, filiation ou guider les gens à travers l’installation dans le hall du Pavillon ADC… »
ANNULATION
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Regards
J’ai compris que ces séances étaient des moments de pure expérimentation et création. Claude achetait une nouvelle caméra, des nouveaux objectifs, un filtre spécial, curieux des nouvelles technologies; il peignait un fond ou proposait une thématique, et il essayait, expérimentait avec ses connaissances de novice mais déjà une grande maîtrise.
Et Beatriz se mettait en scène, se maquillait, proposait des habits ou costumes, des personnages et surtout apportait une nouvelle dimension, en posant merveilleusement bien, avec sa beauté plastique, son intensité théâtrale, son aura d’étoile, son regard, son âme. Mon père dit qu’il n’avait plus qu’à déclencher l’appareil.
Son témoignage raconte l’histoire d’un couple intensément amoureux dialoguant dans leur amour commun de l’image. De cette collaboration, des photographies uniques sont nées: ici un portrait blanc sur blanc qui remporte un prix – image qui se reconnaît d’entre mille -, là un portait de femme moderne aussi sfumato que la Joconde et d’une rare spiritualité ; là encore des poses de danseuse plus conventionnelles mais dont il ressort la révélation d’un esprit, d’une expression transcendant le diadème de la princesse ; là encore des clichés où le théâtral et le cinématographique s’expriment avec classe, simplicité et modernité.
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L’oeil des coulisses
Ballet du Marquis de Cuevas : La Belle au bois dormant dont le pas de deux de l’Oiseau bleu, Le Beau Danube, Gaîté parisienne, Les Sylphides, Arlequinade, Le Spectre de la rose, Casse-noisette, Corrida, Pas de quatre. Grand théâtre de Bordeaux : Don Quichotte. Grand théâtre de Genève : Don Quichotte, Petrouchka.
Certaines séquences représentent une documentation unique de ces spectacles qui n’étaient tout simplement jamais filmés. En effet, au milieu des années 50, on ne faisait pas de captation vidéo comme on le fait automatiquement pour chaque spectacle aujourd’hui.
Nous sommes donc en face d’une jeune danseuse, Beatriz, qui aime de temps en temps capter la réalité avec sa nouvelle caméra 8mm – c’est peut-être sa carrière avortée d’actrice de cinéma qui lui a donné ce goût de filmer la réalité – et qui donne sa caméra à ses collègues lorsqu’elle danse certains rôles.
Ces séquences complètent en quelque sorte ses carnets remplis de liste des tournées, des ballets dansés, des distributions pour chaque spectacle et même des notations des chorégraphies de ses rôles avec dessin à l’appui (voir station 4 – dans les albums). Ils captent ses prestations mais par la même occasion des moments de l’histoire de la danse en train de s’écrire, notamment lorsqu’elle danse le pas de deux de l’Oiseau bleu avec Rudolf Noureev en 1961 : c’est probablement le seul document filmé des premiers spectacles de ce monstre de la danse après sa défection de l’URSS.
La qualité surannée des images et le silence du 8mm confèrent un aspect fantomatique à ces danses. Y apparaît aussi pendant des respirations séquentielles entre les danses de la pellicule qui se donne à voir comme matière attaquée par le temps et l’usure.
Le point de vue est aussi à noter. A de rares occasions, la caméra est placée dans la salle lors de répétitions : dans une ‘baignoire’ c’est-à-dire la loge située au rez-de-chaussée entre la scène et le parterre ; ou au ‘poulailler’, dernier étage des balcons. Mais le reste du temps, la caméra se trouve en coulisse lors des spectacles car les saluts attestent de la présence du public. Nous transportant ainsi sur le même plancher que foulent ces étoiles dansantes, ce point de vue nous fait goûter de petits plaisirs inédits : un retour dans le temps entre voyeurisme – la danse classique ne doit pas se voir de ces points de vue – et privilège – qui ne rêve pas de voir un spectacle à deux mètres de la scène.
C’est la première fois que ces archives 8mm sont partagées avec le grand public.
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Dialogues
Avant le système des Compacts Disks, Beatriz Consuelo, comme tant d’autres personnes, utilisait les bandes magnétiques activées par un appareil Revox pour diffuser la musique lors de répétitions et parfois pour les cours.
«Plein Feu sur la danse», l’entretien d’Antoine Livio, journaliste, musicologue et critique de danse suisse né à Lausanne, provient d’une des mini-cassettes tapes sur lesquelles Beatriz Consuelo enregistrait des émissions radiophoniques et sur lesquelles on pouvait entendre parfois des déformations sonores que le numérique ne connaît plus.
La belle histoire que raconte Liliane Meyer, amie d’enfance de Beatriz retrouvée, a été enregistré avec mon iPhone lors d’un moment où nous consultions des photos de ma mère en 2023.
Les albums photos et souvenirs ont été arrangés par les soins de Gabriel Bishop.
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Enseignements
Cours mixtes et cours garçons captés à l’Ecole de danse de Genève. Documents inédits.
Documenter des cours entiers n’est pas une pratique courante. Mais Madame Consuelo l’a fait pour plusieurs générations d’élèves de son école. Aujourd’hui à travers sa caméra VHS puis Super VHS, nous pouvons voir comment certains élèves devenus professionnels au niveau international apprenait la danse, nous pouvons voir comment les exercices (notés au demeurant sur de nombreux cahiers – voir station 4 dans les albums) se déployaient dans les corps, nous pouvons écouter les différentes pianistes de l’école.
Mais surtout nous pouvons admirer la personnalité de l’enseignement de Madame Consuelo : son énergie et son sens du mouvement ; ses démonstrations et ses accentuations; ses corrections et ses conseils ; ses célèbres «Mes amis….» et ses mémorables imitations ou caricatures des défauts d’élèves.
Autant de moments compilés de transmission que l’on peut également regarder comme de réelles petites performances d’une artiste retraitée de la scène.
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Un mouvement
Créations du Ballet Junior. Interviews de la Télévision suisse romande. Documents de répétitions.
Le Ballet Junior naît au moment où un petit groupe d’élèves de l’Ecole de danse de Genève de 11 à 13 ans, avec notamment 3 garçons, permet la constitution d’une mini-troupe. L’intention de Madame Consuelo est de rajouter quelque chose à l’enseignement normatif par les cours afin de préparer les jeunes au métier d’interprète en travaillant très tôt avec des créateur*ices.
A l’époque, il n’existe ni ballets juniors ni formation pré-professionnelle. Sans soutiens financiers pour soutenir un concept complètement inconnu des pouvoirs publics, Madame Consuelo invente un partenariat gagnant-gagnant. D’une part, elle propose à de jeunes chorégraphes aspirant*es – la plupart danseur*euses au Ballet du Grand Théâtre de Genève sous la direction d’Oscar Araïz – de s’essayer à la création chorégraphique avec ce groupe de tout jeunes. D’autre part, elle donne à ses élèves la possibilité de connaître ce qu’est créer avec des professionnel*les, interpréter ces pièces sur scène, et les tourner devant différents publics dans moultes situations.
Au tout début, le répertoire était constitué en grande partie des ballets de Madame Consuelo, d’inspiration néo-classique. Mais, étant très ouverts aux différents modes d’expressions chorégraphiques, les programmes du Ballet Junior deviennent de plus en plus sensibles aux courants contemporains.
Ce qui ressort le plus de ces extraits de spectacles du Ballet Junior, c’est un esprit pionnier, un élan, l’amour du mouvement, et l’essor de jeunes professionnels. A ce titre, le passage où l’on voit la préparation du spectacle d’un workshop – programme constitué de pièces créées par les jeunes danseur*euses – démontre le degré accru de responsabilisation des élèves de Madame Consuelo. A l’instar de son enseignement par lequel elle préserve leur personnalité, elle donne un cadre dans lequel chacune/chacun a la possibilité de se déployer pour trouver sa danse.
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“Programme: 7h-10h LE LIEU – corde-ballet >10h-13h LE NOM – capde visibilisation > 13h-16h L’HISTOIRE – l’incorpscient > 16h-19h L’ESPRIT – Chimère & Sacrifils »
CANCELLATION
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Ava et Beatriz
Ava, n’a jamais connu sa grand-mère, Beatriz Consuelo étant morte 11 jours avant sa naissance. Tous ceux et celles qui ont connu Beatriz savent combien elle aimait les enfants : elle aurait très certainement adoré Ava.
La lecture du livre réunit enfin Beatriz et Ava dans l’espace-temps donné par cette vidéo. On y retrouve à l’écoute le biographe, Benjamin Chaix, chez lui et devant la table où il a écrit cette biographie ; on y retrouve à l’écoute le grand-père d’Ava et ex-mari de Beatriz, Claude Gafner (et son chien Genio) dans son verger de la maison en Gruyère que lui et ma mère avaient achetée dans les années 70. On se retrouve chez son ancien chez-elle pendant 40 ans à l’avenue de la Croisette, où désormais la famille Duarte y loge; on se retrouve dans l’atelier de Julie Delieutraz, créatrice costumes qui a accompagné le projet Place Beatriz-CONSUELO. On écoute Ava près de la tombe de Beatriz au cimetière des Rois, devant le Grand Théâtre de Genève, sur la nouvelle Place Beatriz-CONSUELO et son Pavillon de la danse, ces lieux habités de différentes manières par Beatriz; on retrouve Ava lisant à Beatriz en photo sa vie en mots.
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“ 1. LE LIEU – corde-ballet
7h : Lignées – 8h : Envol – 9h : Attaches
2. LE NOM – capde visibilisation
10h : Vocabulaire de danse – 11h : Nomen est omen – Midi : Lingua maternelle
… »
CANCELED
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Témoignages
J’ai proposé que l’on s’adresse à elle directement, à la manière de nos jours comme par un message vidéo envoyé sur une messagerie. Chacune chacun a décidé de faire à sa manière.
De ces témoignages se dégagent plein d’éléments. Mais j’ai compris par recoupage qu’une des dernières activités de Beatriz Consuelo après avoir fait la passation de son Ballet Junior a été de conseiller d’ancien*nes élèves devenus jeunes professeur*es elleux-mêmes. Lorsque celleux-ci venaient lui rendre visite, elle les formait informellement comment enseigner la danse, comment transmettre la passion du mouvement.
Ceci aussi est un narratif qui n’a pas encore été raconté à son sujet.
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“… 3. L’HISTOIRE – l’incorpscient
13h : Corporéité en quête – 14h : Reredonner corps – 15h : Matripoine immatériel
4. L’ESPRIT – Chimère & Sacrifils
16h : Encensement – 17h : Macabracadabra – 18h : de l’in Finitude »
CANCEL
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Merci aux soutiens, partenariats et collaborations, pour ce projet qui a permis de partager ces documents.
Le projet Place Beatriz-CONSUELO et quelques centaines de francs réservés dans le budget ont permis d’initier la création d’un site dédié à l’héritage de Beatriz Consuelo qui donnerait, s’il se concrétise entièrement, une deuxième visibilité plus étendue et internationale aux archives présentées dans l’exposition, en plus de devenir potentiellement un lieu d’information sur sa vie et sa carrière. A suivre…
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En clôture du Projet Place Beatriz-CONSUELO et de CONSTALLATION
L’heure des DANSES DÉDIÉES de tout un chacune
Que celleux qui ont connu Beatriz Consuelo lui adressent une danse ou une méditation.
Que celleux qui ne l’ont pas connues dansent quand même pour quelqu’un de présent ou d’absent, pour quelque chose, par exemple pour l’amour de la danse sur cette Esplanade de la Danse!
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N’ayant pas pu performer ma Danse Dédiée sur la Place Beatriz-CONSUELO le 16 juin 2024, j’ai dansé ma dédicace à ma mère quelques jours plus tard à travers le hasard d’une invitation de dernière minute en remplacement de Jeremy Nedd au Festival Ticino in Danza. Dans la cour du cloître au Museo d’Arte a eu lieu une soirée de Danses Dédiées, d’abord la mienne, puis simultanément celles d’artistes qui avaient pratiqué l’après-midi en atelier cette proposition de danser pour quelqu’un ou quelque chose ; puis tout le public présent s’est mis à danser aussi.
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Premier d’une série d’actes olgorégraphiques dans l’espace public au-delà de la Suisse
Merci à Nicolas Maye, l’ancien collègue du Ballet Junior et danseur d’une de mes premières pièces de jeunesse, muse et mari de Myriam ci-dessous, d’avoir été là pour filmer, photographier, indiquer le chemin à prendre, et permettre d’utiliser le camion pour se métamorphoser à l’intérieur de Frédéric Gafner à Foofwa-en-OLGO.
Merci à Myriam Naisy, la chorégraphe de la La CMN / L’hélice * (et danseuse du Grand Théâtre de Genève à l’époque de mon écolage au Ballet Junior), d’avoir été aux petits soins, de faire de très beaux retours et critiques constructives sur la performance, et d’avoir accompagné Ava Isadora, ma fille pour cette promenade toulousaine.
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Deuxième d’une série d’actes olgorégraphiques dans l’espace public au-delà de la Suisse
Thank you Moon, my Merce Cunningham Dance Company colleague in the 90’s, my partner of a beautiful young adventurous relationship at the time, an American living for the past 30 years or so in La Plana near Dénia in Spain, now with a family that I enjoyed meeting and spending time with, thank you Moon for accompanying me in a little OLGO outing, in the still hot summer night, after the festivities, in the midst of vacationing tourists and Spaniards, it was a trial, for a moment in a street (not videotaped) I felt something really happened with the energy between children and people in the restaurant tables and OLGO, something close to the synergy with the guitar moment earlier in the tunnel.
I wonder if OLGO shouldn’t accept Frédéric is sad these days, I wonder if OLGO shouldn’t have pure lyrical moments of sadness about the world’s state… These are trials, let’s see, let’s see…
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Troisième d’une série d’actes olgorégraphiques dans l’espace public au-delà de la Suisse — Not All Go
À Santa Cristina de Cobres, Galicia, OLGO a creusé dans la sable la tombe de l’exploitation de la Planète. À Pontevedra, Galicia, OLGO a mendié pour que le monde sauve le monde.
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Quatrième d’une série d’actes olgorégraphiques dans l’espace public au-delà de la Suisse:
OLGO à Biarritz après une rencontre avec les ancien*nes participant*es d’un atelier et spectacle il y a 9 ans: Live & Dance & Die pour le festival Le Temps d’Aimer…
Photos brut de Véronique de la Devèze et de Kepa Aguirre:
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Première étude du LIEN-LIEU
PerméabiLieu
LIEN TAO LIEU ?
Faire corps avec Un lieu
Comment Un site Un Contexte
Comment Un paysage
Peut être incorporé
Un Environnement
Incarné
Commencer à Aimer le lieu
J’ai envie de le nettoyer
Découvrir le lieu
J’ai envie de le comprendre
Observer
Imiter
Se laisser s’imbiber par les mouvements du lieu
Par ces manifestations
Par son tempo
Par son décor
Ses couleurs
Son atmosphère
Mobilisation in situ
Observation in situ
Mon attention rend sacrés certains objets comme ce bout de bois au sol, véritable sculpture au milieu d’un espace dégarni d’autres objets. Il devient naturellement un point d’appui, le centre de mon attention ; voir comment mon corps réagit face à lui, à cause de lui, mimésis & all. Il devient l’objet le plus important à ce moment donné, il devient mon totem. Puis sacrilège, quelques instants plus tard, il se fait pisser dessus par un chien de passage : est-ce que le chien voulait marquer son territoire sur cet objet et que du coup c’est un hommage à l’objet d’un point de vue canin ou est-ce qu’au contraire, ça banalise mon objet sacré, le rend profane, profané par l’urée du meilleur ami de l’humain ?
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Même lieu Retourner
Arve de Paix (+ ou -)
Où se positionner?
Mon Théâtre a-t-il une face a front?
Où me placer poser mes pieds face à quoi vers à côté de quoi?
Comment faire corps avec le sol la terre l’herbe les feuilles mortes ?
Peau contact avec la peau
Pollution? Peaullution?
Pieds nus marcher toucher sentir sous la plante piétiner sauter
Équilibre pieds nus sur troncs coupés au sol > ?
align= »left »>.
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EN RÉPÈT’ pour OCCUPASSION
Le Cahier d’Exercices Jour 1 Pliés à la barre
Notebook by Beatriz Consuelo 1976 Denmark Bournonville
1st page
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Boules quies % pour être immergé [] dans l’inscription ~~ dancewalkante ~~~ à travers quelques rues de Carouge -/&~>> Acacias
Les mouvements se déploient à partir des centres ººº@º de mon corps sur l’asphalte ___ au-dessus du sol —-//autour de moi <**>* et vers l’avant là ,’,’,’ où il y a encore à découvrir
->>> c’est comme si des ballets sortent de l’intérieur de mon corps vers la rue la ville l’espace urbain
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ETUDE#9:?/MonBureauMarchant
Premiers essais pour travailler sur mon ordinateur tout en marchant, dansant, regardant le paysage, rencontrant des gens…
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ETUDE#10:Perméabilieu/Monte_Genoroso
Après les deux études sur la perméabilité du corps avec un lieu, un environnement, plus précisément un endroit choisi au bord de l’Arve à Genève (ArveDePaix), étudier en ce jour cette perméabilité sur le Monte Generoso dans le Mendrisiotto au Tessin.
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Filmer des Danses Dédiées sur le Monte Generoso (Saison d’été)
Repérages des lieux spéciaux et appropriés pour chaque Danse qui sera Dédiée à une personne qui m’a été particulièrement généreuse. Premières maquettes de la session d’été.
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Les membres corps avancent inscrivent traces sur bitume murs toits ville Zurich en été puis la vidéo démembre les membres du corps qui avancent et qui inscrivent leurs traces sur le bitume sur les murs sur les toits de la ville de Zurich en été les membres dansent
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The Gallaratese Dancewalks * Act 1
Dancewalking Spirit from Gallarate to Via Gallarate
41k of symbolinking a mother-name city to its child-name suburb – solo
Since the city of Gallarate gave the name to the Gallaratese Quartiere in West Milano, Foofwa linked the center of Gallarate to Via Gallarate in Milano by dancing the 41 kilometers separating them in 9 hours.
Last part (evening), video shooting by Ji-Eun Im
* The Gallaratese Dancewalks are four dance acts around the idea of visiting, studying and highlighting the Gallaratese Quartiere, Municipio 8 in Milano through dance.
The project culminates on Saturday October 12th with an open to the public dance through the Quartiere.
Hosted and organised by Avventure in Elicottero Prodotti directed by Ariella Vidach
Details:
First stretch : Gallarate – Legnano
18 kilometers – MORNING
From Piazza della Libertà (in front of the Basilica di Santa Maria Assunta) in Gallarate to Piazza San Magno in Legnano
Second stretch : Legnano – Rho
16 kilometers (accumulated 34 kilometers) – AFTERNOON
From Piazza San Magno (in front of the Basilica di San Magno) in Legnano to Piazza San Vittore in Rho
Third stretch: Rho – Via Gallarate, Gallaratese Quartiere, Milano
7 kilometers (accumulated 41 kilometers) – LATE AFTERNOON
From Piazza San Vittore (in front of Chiesa Prepositurale di San Vittore Martire) to the station in the beginning of Via Gallarate, Gallaratese, suburb of Milano
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The Gallaratese Dancewalks * Act 2
Dancework the Dancewalk in Milano and Gallaratese
group workshops & working troupe
How to embody an area ?
During the week, Foofwa will walk / work / dancewalk through the quartiere. His presence in the public space would be one of a. observing, taking notes, photos and videos; b. trying a performing body in the midst of the urban setting; c. exchanging with the interested people on the street.
This way, Foofwa will accumulate audio&video&text artefacts throughout the week for inspiration or to be used for the final Dancewalk performance on Saturday October 12t.
Meeting people on the street will probably lead to some unexpected/unknown developments.
On Thursday 10 and Friday 11, in the morning, professional dancers affiliated wit Ariella Vidach will accompany Foofwa in this Dancewalk urban research.
* The Gallaratese Dancewalks are four dance acts around the idea of visiting, studying and highlighting the Gallaratese Quartiere, Municipio 8 in Milano through dance.
The project culminates on Saturday October 12th with an open to the public dance through the Quartiere.
Hosted and organised by Avventure in Elicottero Prodotti directed by Ariella Vidach
October 9th, 10th, 11th 2024, 5:30pm-9pm
OPEN TO ANYONE
Dancewalk workshops
Anyone can dancewalk ! Foofwa shares what is dancewalking with anyone interested, without discrimination: dancers (professionals or not), non-dancers, sports-wo-men, children, seniors, people with disabilities. Experience the joy of dancing your personal self within a group celebrating liberation.
SPAZIO FATTORIA or SPAZIO ARIELLA VIDACH AiEP, FABBRICA DEL VAPORE, VIA PROCACCINI 4 MILANO 20154
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The Gallaratese Dancewalks are four dance acts around the idea of visiting, studying and highlighting the Gallaratese Quartiere, Municipio 8 in Milano through dance :
Act 1
Dancewalking Spirit from Gallarate to Via Gallarate
41k of symbolinking a mother-name city to its child-name suburb – solo
Act 2
Dancework the Dancewalk in Milano and Gallaratese
group workshops & working troupe
Act 3
Gallaratese Frammentismo Dancewalk
Group
Act 4
Gallaratese Periphery to Milano Center Dancewalking
7+5 km to finish the symbolink between Gallarate, Gallaratese and Milano
Solo
-> The Gallaratese Dancewalks’ Past Dates
Hosted and organised by Avventure in Elicottero Prodotti directed by Ariella Vidach
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The Gallaratese Dancewalks * Act 3
Gallaratese Frammentismo Dancewalk
Group
Foofwa, accompanied by Roberta di Serio, Francesco Romagnoli, Valeria Petroni, Chiara Stella Carcano, dancers working with Ariella Vidach, produced a ‘bricolage’ Dancewalk through the Gallaratese area. Starting at the Monte Amiata Gallaratese II Housing, going through Bonola and its shopping mall, then passing the murals of via Appennini and finishing at the Cascina Merlata Community Center, they offered a fragmented view of this suburb of Milano. With the presence of some people from the past week’s workshops and people living in Municipio 8.
* The Gallaratese Dancewalks are four dance acts around the idea of visiting, studying and highlighting the Gallaratese Quartiere, Municipio 8 in Milano through dance.
The project culminates on Saturday October 12th with an open to the public dance through the Quartiere.
Hosted and organised by Avventure in Elicottero Prodotti directed by Ariella Vidach
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The Gallaratese Dancewalks * Act 4
Gallaratese Periphery to Milano Center Dancewalking
7+5 km to finish the symbolink between Gallarate, Gallaratese and Milano
Solo
Foofwa had to finish this week’s project by dance-linking the Gallaratese Quartiere to the Fabbrica del Vapore where the workshops took place near the center of Milano ; then he finished this symbolink by tourist walking from the Fabbrica through Milano’s Centro storico and end up in front of the Teatro Alla Scala !
The elements for this Dancewalk were “CamMINAre”, “GrammelFO” and « Mila-no-Tourist »: the first part of the performance was dancewalking to the songs by the diva singer from Lombardy Mina ; the second was finding a way to dancewalk inspired by the grammelot as done by Dario Fo – who worked in Milano for so many years ; and the last was just being a pseudo tourist with a funny Dancewalk outfit 🙂
* The Gallaratese Dancewalks are four dance acts around the idea of visiting, studying and highlighting the Gallaratese Quartiere, Municipio 8 in Milano through dance.
The project culminates on Saturday October 12th with an open to the public dance through the Quartiere.
Hosted and organised by Avventure in Elicottero Prodotti directed by Ariella Vidach
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Session d’automne au Monte Generoso
Filmer des Danses Dédiées sur le Mont de la générosité au Tessin
Repérages des lieux spéciaux et appropriés pour chaque Danse qui sera Dédiée à une personne qui m’a été particulièrement généreuse. Nouvelles maquettes de la deuxième session.
Résidence de travail à Berlin
Little image diary during the TOURESIDANCE IN BERLIN between October 29th and November 15th 2024
IMAGE DIARY
29.10.2024 : Dedicated Dances work
29.10.2024 : Planning the outdoors works
30.10.2024 : Structuring the residence
IN 31.10.2024 : Fall Thoughts
31.10.2024 : Trials
01.11.2024 : Accomplishing
IN 02.11.2024 : Rethinking dance as an offering to the world
OUT 03.11.2024 : First WallsWaltz
IN 04.11.2024 : Repenser noter structurer
IN 05.11.2024 : Ne pas chômer bon gré mal gré
06.11.2024 : Imagining further
06.11.2024
07.11.2024 : Wall in Wall
08.11.2024 : Reminiscing
09.11.2024 :
10.11.2024 : Final cutting the Wall
11.11.2024 : Sortir ou ne pas sortir
12.11.2024 : Towards the End
13.11.2024 : D’encens
14.11.2024
15.11.2024
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The Berlin Dancewalk Essays
Trial A – Berlin RiverRun
A dance-traveling essay on Flüssigkeit, Fluidité, Fluidity, Wasser-like quality of movement along the canals and rivers, big and small, of Berlin, in contrast with the other dance-traveling essay along the historical Wall of Separation.
Part 1 : Süd Panke
This solitary Dancewalking, as slow-paced as the Panke, was interrupted by roads and crossing roads, big and small, most of the time without a crossing walkway ! The river is bound by walls with many graffitis, framing the slow and shallow fluidity with signs and statements which I photographed some. The path’s paving is multiple going from soil to ciment through paving stones, gravel and big stone slabs. Lots of trees: Birches, Pines, Maples, Ifs, Poplars, Ash trees, und so weiter are companions along the route.
« The Panke is not an impressive river. It runs for 29km from near Bernau in Brandenburg to where it splits close to the fortressed headquarters of the BND on the border between Mitte and Wedding, emptying into the Spree from an underground tunnel close to the Berliner Ensemble, and via a series of waste- and debris-collecting locks into the Spandau Ship Canal just behind Hamburger Bahnhof. »
Author Paul Scraton on the Panke, the narrow, shallow river that has become his constant companion.
The Berliner
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1st trial outing of OLGO in Berlin
Some thumbs up, some smiles, a few questions. Only one overtly negative remark, as one cold faced guy told me while showing the incoming traffic : « Spring jetzt ! », which I interpreted as : jump now under a car…
At some point, a police car followed me slowly then left, probably seeing I was moving along and not of any danger. Or maybe they just wanted to take a picture. Which people did here and there.
It was also Halloween day, possibly people thought I was a post-industrial zombie.
Who’s been in Berlin knows there are a lot of trash out on the streets ; I decided to pick some up and do my share as Citizen of Earth.
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The Berlin Dancewalk Essays
Trial A – Berlin RiverRun
A dance-traveling essay on Flüssigkeit, Fluidité, Fluidity, Wasser-like quality of movement along the canals and rivers, big and small, of Berlin, in contrast with the other dance-traveling essay along the historical Wall of Separation.
Part 2 : Spree
La Spree est une rivière allemande et tchèque, affluent de la Havel, donc sous-affluent de l’Elbe. À Berlin, la Sprée coule dans le lit de la vallée proglaciaire de Berlin. Ainsi, peu après avoir franchi les limites de la capitale, elle traverse le grand lac de Müggelsee en passant par le petit lac de Müggelsee. Au niveau du quartier de Köpenick, elle reçoit les eaux de la rivière Dahme. La petite île du centre de Berlin est nommée la Spreeinsel. Vers Nordhafen, la Panke vient alimenter la Sprée. C’est finalement au niveau du quartier de Spandau qu’elle se jette dans la Havel par la rive gauche. (source wikipédia)
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The Berlin Dancewalk Essays
Trial B – Berlin WallsWaltz
Dancewalking essays vis à vis the historical symbol of SEPARATION via the Berliner Mauerweg and other walls, barriers, limits, stops, privatization of the public space… And a questioning, as the 35th anniversary of the Wall’s Fall unfolds : are we really more free now in this world ?
Part 1 : Berlin-Wittenau to Wollankstrasse
Complication to find the Mauerweg as the maps of the Berlin site didn’t work. Videotaped trials on the corporality of separation. Beginning reflections on the notions of limits and barriers.
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OLGO SAPIENS’ second outing in Berlin on this sad day
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Being an Artistourist @ Käthe-Kollwitz-Museum Berlin
Two ideas/projects can result from this FIRST SKETCHES :
1 – something close to what I did here, filming the experience to be kinesthetically connected to the exhibition visited, something that could be called AUTO-EXPOSITION ;
2 – doing / acting / performing images and situations inspired by the artwork from an exhibition visited, something that could be called IMAGE VIVANTE .
The Berlin Dancewalk Essays
Dance&Walk&Think on Fluidity and Separation (2024)
These opuses, live in the public space translated into videos, are something between trial performance and reflection.
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On one hand, the Berlin RiverRun, on the other hand, the Berlin WallsWaltz.
On one foot, a dance-traveling reflection on FLUIDITY OF MOVEMENT along the rivers, canals, waters of Berlin.
On the other foot, a dance-traveling reflection along the Berliner Mauerweg and this historical symbol of SEPARATION.
Details see page The Berlin Dancewalks Essays
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On the two days of the 35th anniversary of the Wall’s Fall November 8th and 9th
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The Berlin Dancewalk Essays
Trial B – Berlin WallsWaltz
Dancewalking essays vis à vis the historical symbol of SEPARATION via the Berliner Mauerweg and other walls, barriers, limits, stops, privatization of the public space… And a questioning, as the 35th anniversary of the Wall’s Fall unfolds : are we really more free now in this world ?
Part 2 : dancewalking along the remains of the wall in Berlin
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Being an artistourist along the Berlin Wall trail #1
On the days of the 35th anniversary of the Wall’s Fall, I wanted to get a closer look at the anatomy of the Wall, see how it exercises a physical influence on me, see if it can still stand and parade for me. The result is Physicals of a 63-year-old Wall .
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Being an artistourist along the Berlin Wall trail #2
On the days of the 35th anniversary of the Wall’s Fall, I walked to further observe how the fallen wall became spectacle, artefact, advertisemen and artwork to my gaze ; in a word THE WALL BECAME A SHOWCASE FOR THE ‘FREE WORLD’ BEFORE MY EYES. The result is From Wall to Mall .
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Performing Soviet Postures at the Brandenburg Gate
This ‘act-for-recording’ came from the zoom dialogue with Dasha Plokhova who forms together with Sasha Portyannikova the dance cooperative Isadorino Gore, who lead in the artistic research and creative project « Soviet Gesture » since 2015. Yet, my gesture is only a bouncing move, an appendice, a personal digression from their work.
The following videos are some of the sixteen Soviet Postures performed at the Brandenburger Tor in Berlin on this November 14th 2024 :
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AUTODÉROUTE ? VOTE NON !
OLGO SAPIENS a fait des siennes la semaine du 18 novembre pour inciter tout un chacune à votez contre l’extension des autoroutes en Suisse le 24 novembre prochain.
Fantastique ! au final l’élargissement des autoroutes a été refusé par 52,7% des votants !
Le Conseil Fédéral et en première ligne le ministre du Département des transports, UDC et lobbyiste du pétrole, avait incité à voter OUI. Le peuple suisse en a décidé différemment grâce notamment aux arguments de actif-trafiC et de l’ATE .